Sea Venom-ANL missile marks further trials milestone

29/11/2018
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The missile is being developed under a unique joint programme launched at the 2010 Lancaster House Summit.

MBDA’s Sea Venom-ANL anti-ship missile has successfully conducted a further firing trial, passing a significant new milestone for the Anglo-French co-operation programme.

Conducted on 14 November from a Direction Générale de l’Armement (DGA) Dauphin test helicopter at the DGA Missile testing range of Ile du Levant, the trial was the final development firing for the missile prior to the start of qualification trials in 2019.

This latest trial highlighted Sea Venom-ANL’s lock on before launch (LOBL) capabilities, with images from the missile’s infrared seeker being used by the operator to designate the target prior to launch.

Frank Bastart, MBDA’s head of the Sea Venom-ANL programme, said: “This latest successful trial is a great milestone for the programme, which will provide a major increase in the naval strike capabilities of our armed forces. Throughout the trials campaign we have continued to push the system and its operating modes to its limits. The success of these tests is testament to the unrivalled performance of the Sea Venom-ANL missile.”

Sea Venom-ANL is capable of being launched from a wide range of platforms, and will be used on the UK Royal Navy’s AW159 Wildcat and French Navy future HIL (Hélicoptère Interarmées Léger) helicopters. This 120 kg sea-skimming missile is designed to enable navies to deal with a range of threats including fast moving patrol boats, corvettes and coastal targets. The missile is capable of being fired in both lock on before launch (LOBL) and lock on after launch (LOAL) modes, with a two way datalink and imaging seeker giving the operator the ability to monitor the engagement, perform aim point refinement, select a new target, or abort the mission if necessary.

The missile is being developed under a unique joint programme launched at the 2010 Lancaster House Summit, that is the first to take full advantage of consolidated centres of excellence created within the Anglo-French missile industry under the ‘One Complex Weapons’ initiative.

Le missile est en cours de développement dans le cadre d’un programme conjoint unique qui est le premier à s’appuyer sur les Centres d’Excellence spécialisés.

En procédant avec succès à un nouveau tir d’essai de son missile antinavire léger Sea Venom-ANL, MBDA vient de permettre au programme franco-britannique de franchir une nouvelle étape.

Réalisé au centre d’essai de l’Ile du Levant le 14 novembre depuis un hélicoptère d’essai Dauphin de la DGA, cet essai consistait à réaliser le dernier tir de développement du missile avant le démarrage des essais de qualification prévus pour 2019.

Ce tir a permis de confirmer la capacité d’accrochage avant tir (LOBL) du Sea Venom-ANL, l’opérateur utilisant les images provenant de l’autodirecteur à infrarouge du missile pour désigner la cible avant le tir.

« La réussite de ce dernier essai permet de franchir un jalon majeur du programme », a déclaré Frank Bastart, Responsable du programme Sea Venom-ANL chez MBDA.  « Ce missile va très largement améliorer les capacités de frappe navale de nos forces armées. Tout au long de la campagne d’essai, nous avons constamment poussé le système et ses modes de fonctionnement jusqu’aux limites. C’est pourquoi la réussite des essais atteste de la performance exceptionnelle du Sea Venom-ANL. »

Le Sea Venom-ANL peut être tiré depuis un large éventail de plateformes. Il sera utilisé sur l’AW159 Wildcat de la Royal Navy britannique et sur le futur hélicoptère interarmées léger(HIL) français. Ce missile rasant de 120 kg est conçu pour permettre aux forces navales de traiter un large spectre de menaces, tels que les patrouilleurs rapides, les corvettes mais aussi des cibles côtières. On peut le tirer à la fois en mode accrochage avant tir (LOBL) et accrochage après tir (LOAL), grâce à la transmission de données bidirectionnelle et à l’autodirecteur à imagerie qui permet à l’opérateur de contrôler l’engagement, d’ajuster le point de visée, de sélectionner une nouvelle cible ou encore d’abandonner la mission si nécessaire.

Le missile est en cours de développement dans le cadre d’un programme conjoint unique qui est le premier à s’appuyer sur les Centres d’Excellence spécialisés, créés dans le secteur franco-britannique  des missiles autour de l’initiative « One Complex Weapons ».