MBDA completes qualification firing trials of the Sea Venom/ANL missile

26/11/2020
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The Sea Venom/ANL anti-ship missile has completed its qualification firings trials, with a successful final firing at the French Armament General Directorate (DGA) test site at Ile du Levant on 17 November.

Soon to start equipping the Royal Navy’s AW159 Wildcat and Marine nationale’s H160M Guépard shipborne helicopters, the Sea Venom/ANL anti-ship missile is a co-operation project developed under the Lancaster House treaty between France and the United Kingdom. The Sea Venom/ANL missile is the first programme to take full advantage of the cross-border centres of excellence on missile technologies launched by the Lancaster House treaty, which celebrated its 10-year anniversary this month.

The final qualification trial tested the missile’s advanced target discrimination within a complex and cluttered naval scenario.

Éric Béranger, MBDA CEO, said: “I want to congratulate the UK-French teams across both MBDA and our governments for the commitment they have shown in meeting this qualification milestone amid the disruption caused by Covid-19. Together they have proven that through co-operation we can jointly overcome adversity and deliver leading edge military capabilities.”

Previous trials have tested the missiles launch envelope, release envelope and engagement modes, such as its low-altitude sea-skimming flight, lock on after launch (LOAL), lock on before launch (LOBL), operator-in-the-loop, and aimpoint refinement.

MBDA a réalisé avec succès, le 17 novembre, le dernier tir de qualification du missile antinavire Sea Venom/ANL sur le site d’essai DGA de l’Ile du Levant.

Le missile antinavire Sea Venom/ANL, qui équipera bientôt les hélicoptères Wildcat AW159 de la Royal Navy et H160M Guépard de la Marine Nationale, est un programme en coopération réalisé dans le cadre du traité de Lancaster House, conclu entre la France et le Royaume-Uni, il y a eu dix ans ce mois-ci. Le Sea Venom/ANL est également le premier programme à bénéficier pleinement des centres d’excellence franco-britanniques spécialisés dans les technologies des missiles, qui ont été mis en place par le traité de Lancaster House.

Cet ultime tir de qualification avait pour but de valider les performances du missile en termes de discrimination de cible en environnement naval dense et complexe.

« Je tiens à féliciter les équipes franco-britanniques de MBDA et celles de nos clients étatiques pour l’engagement dont ils ont fait preuve et qui nous a permis de franchir ce jalon de qualification, en dépit des difficultés engendrées par la pandémie de Covid-19 », a déclaré Éric Béranger, le CEO de MBDA. « Ensemble, ces équipes ont démontré que par la coopération nous sommes en mesure de surmonter l’adversité et de fournir des capacités militaires de très haut niveau ».

Les essais précédents avaient permis de tester le domaine de séparation et de tir, le vol rasant à basse altitude, ainsi que les modes d’engagement du missile, tels que l’accrochage après tir (LOAL), l’accrochage avant tir (LOBL), l’opérateur dans la boucle ou encore la sélection du point d’impact.

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